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Fleuve CongoValérie Lagrange signe un"Fleuve Congo"

De Bouches à Oreilles...Tryo
De Bouches à Oreilles...

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  FLASH INFO 

Bonjour a tous a ne pas manquer le film sur la vie de Bob Dylan au cinema IM NO THERE vous decouvrirez tout les codes des annees du Summer of Love pour la musqieu je vous conseille l'album de martha tilston je vous souhaite de passer une fin d'annee merveilleuse et rendez vous peut etre a GOA pour le 31 decembre , je vous envoie plein d'amour... DE L'AMOUR PLEIN D'AMOUR PAIX ET AMOUR A VOUS TOUS

'Rendez-Vous'Jane Birkin
"Rendez-Vous"
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..........INFO BOX..........

 

I'm Not There : Les vies de Bob Dylan

 

De la fin des années cinquante au milieu des années quatre-vingt, Bob Dylan a vécu plusieurs vies. Des débuts folk fulgurants au virage rock électrifié en passant par les rencontres marquantes et les crises personnelles, le légendaire auteur-compositeur américain s'est métamorphosé et renouvelé maintes fois. Au-delà de l'influence de son oeuvre et des exigences de la gloire, assumées ou non par l'artiste, celui-ci devra combattre un profond sentiment d'aliénation afin de pouvoir exister en lui-même, de rester fidèle à ce qu'il est. Mais qui est-il exactement?

Bob Dylan & Allen Ginsberg

La Californie pop et hippie de Brisa Roché

"Contrairement au premier, je suis responsable de ce disque à 100%. C'est plus que mon enfant car +enfant+ impliquerait la présence d'un homme: c'est mon sang", explique à l'AFP la chanteuse de 33 ans, qui vit à Paris depuis six ans.

"Takes" est sorti lundi sur le label indépendant Discograph, que Brisa Roché a rejoint après son départ de Blue Note et de la major EMI. Tout aussi séduisant que "The Chase", qui avait reçu des dithyrambes unanimes, il marque un changement de style: la pop-folk sixties et le rock psyché californien remplacent l'éclectisme jazz-rock.

Ces influences s'expliquent par le fait que la jeune femme a conçu le disque dans son village californien, à six heures au nord de San Francisco.

"Cet endroit est resté ancré dans les années 60 et représente mes racines musicales et humaines: une Californie libre avec l'océan, la nature, beaucoup d'art et une façon de vivre très expérimentale", souligne-t-elle dans un français quasi-parfait.

"Quand j'étais ado, les gens jouaient de la musique pendant des heures autour du feu, avec des percussions et des guitares, se souvient-elle. C'était un truc tribal, très hypnotique et un peu mystique".

Brisa Roché a grandi entre deux parents hippies, père abonné aux petits trafics et mère passionnée de musique: "Tous deux étaient très branchés liberté. Mon enfance a été très baba et pleine d'aventure".

"A treize ans, on a déménagé à la montagne dans une cabane sans électricité ni téléphone, assure-t-elle. On était super bio, écolo à mort, et comme j'étais fille unique, c'était une vie très solitaire."

"C'est là que j'ai commencé la guitare, genre Joni Mitchell ou Donovan, ajoute-t-elle. Puis +Dry+ de PJ Harvey est sorti: je ne voulais plus être Joni Mitchell mais PJ Harvey!"

L'anticonformisme dans lequel elle a baigné enfant transparaît jusque dans son nom: "Mon vrai prénom, c'est La Brisa Day. Mais je l'ai raccourci: La Brisa Day Roché, c'était un peu grandiloquent!"

Brisa Roché a souvent été comparée à une autre excentrique, Björk, moins pour sa musique que pour son physique. Bien qu'elle soit plus grande et longiligne que l'Islandaise, son visage étrange -peau claire et yeux légèrement bridés où brillent deux prunelles bleues- lui donne la même allure de princesse eskimo.

Cette remarque récurrente l'amuse: "Pour les Français, la Californie c'est +Palmiers et Hollywood+. Mais la Californie du Nord est culturellement plus proche de Seattle ou de l'Alaska: il fait froid, très humide et les rivières sont pleines de saumons énormes. Alors eskimo, c'est assez proche de ce qu'est ma région!"

 

La famille LENNON

LA FAMILLE LENNON AUJOURD’HUI

Yoko Ono, l'épouse de John - Copyright Yellow-sub.netMme Ono-Lennon a habilement fait fructifier son patrimoine en publiant ses fonds de tiroir inédits : en 84 "Milk And Honey", des compos comme " l’m Stepping Out ", "Nobody Told Me " (du grand Lennon), puis "Heart Play " et le concept "Every Man has a Woman", composé de chansons de Yoko interprétées par d’autres artistes ; John y chante " Every Man Has a Woman " et joue de la guitare dans " Now Or Never ".

Publication en 86 des bandes (disque et vidéo) du concert du 30/ 8/72 au Madison Square Garden à New York ("Live in New York City") où John Lennon était accompagné par Yoko et le groupe Elephant’s Memory pour un Best Of médiocrement enregistré, approximatif, et en 87 d’un recueil inédit de dessins et de proses, Skywriting By Word And Mouth.

La pièce de théâtre, "Lennon", fut créée à Liverpool et à New York, sans succès, et une série radio américaine de 52 heures diffusée en 89, avec des titres inédits (" The Rikikesch Song ", " Life Begins At 40 ", " Serve Yourself ", etc.) et 300 heures d’interviews et de poésies.

Fin 88, la bio romancée d’Albert Goldman "John Lennon :Une vie avec les Beatles" provoqua un scandale, mais fut contrée par la sortie simultanée du documentaire et du livre "Imagine", produit par Yoko Ono, dont la fortune est l’une des plus importantes des USA.

John Lennon lors du tournage du film "How I won the War" - Copyright Yellow-sub.netEn août 66, John. avait joué dans le film contestataire de Richard Lester "How I Won the War" avec des cheveux courts et des lunettes rondes qui firent le tour du monde. Fin 77, il composait au piano, pour une comédie musicale jamais terminée qui devait s’appeler "The Ballad Of John & Yoko", " Free As a Bird " dont les trois Beatles survivants développèrent la maquette en mars 94 pour la parution de leur Anthology volume 1.

Et en 98 le coffret Lennon en 4 CD proposait 90 titres, demos, répétitions (avec son fils Sean), dessins et aquarelles, quelques morceaux inédits et des parodies de Dylan et George Harisson.

Sa première femme, Cynthia, a ouvert en 89 un bar-restaurant, le Lennon’s, à Londres et son père Freddie Lennon a enregistré en 65 le single " That’s My Life ".

Son premier fils Julian John Lennon Charles, multi-instrumentiste (né en 1963), a formé un groupe rock avec le fils de Lemmy de Motorhead et chanté " Song For Guy " d’Elton John sur l’album du saxophoniste Ralf Ravenscroft. Son premier album aux qualités musicales certaines, "Valotte" (d’après le nom d’un studio français), paru en 84 fut un gros succès américain l’année suivante . Produit par Phil Ramone, Julian n’a pas concrétisé ce début prometteur, surtout avec le cuisant échec de son troisième album "Mr. Jordan" au printemps 89. Il a dû batailler avec Yoko pour obtenir les 12,5 millions de dollars de son héritage.

Sean, fils de Yoko et John (né le jour de ses 35 ans, le 9/10/75), ex- IMA, avec sa muse japonaise Yuka du duo Cibo Matto a enregistré en 98, pour le catalogue des Beastie Boys, "Into the Sun", un album de bossa-folk.

UN MONDE HIPPIE

 

We are here to make a better world.

No amount of rationalization or blaming can preempt the moment of choice each of us brings to our situation here on this planet. The lesson of the 60's is that people who cared enough to do right could change history.

We didn't end racism but we ended legal segregation.

We ended the idea that you could send half-a-million soldiers around the world to fight a war that people do not support.

We ended the idea that women are second-class citizens.

We made the environment an issue that couldn't be avoided.

The big battles that we won cannot be reversed. We were young, self-righteous, reckless, hypocritical, brave,silly, headstrong and scared half to death.

And we were right.

Abbie Hoffman

VIDEOS D'EPOQUE SPECIAL HOFFMAN

Defense Attorney William Kunstler (1971,72 seconds, 149K)
Defendant Abbie Hoffman (1970, 66 seconds, 135K)**
Defendant Tom Hayden (1970, 27 seconds,55K)**
Defendant Rennie Davis (1970, 41 seconds, 84K)**
Defendant Jerry Rubin (1970, 56 seconds, 104K)**
Prosecutor Thomas Foran (1970, 13 seconds, 27K)
Prosecutor Richard Schultz (1970,16 seconds, 33K)
Country Joe McDonald, Witness (1970, 55 seconds, 111K)**
Norman Mailer, Witness (1970, 132 seconds, 270K)**
Julian Bond, Witness (1970, 60 seconds, 123K)**

VALERIE LAGRANGE

DECOUVRE VALERIE SUR NOTRE MINI SITE

Valérie Lagrange signe un retour aussi inattendu que réussi avec "Fleuve Congo". Epaulée par Benjamin Biolay, elle rend hommage ici à Gainsbourg, son premier auteur.

Fleuve CongoA soixante et un ans, c'est une véritable renaissance que s'offre Valérie Lagrange ! Relativement populaire dans les années 70, elle s'est ensuite égarée dans les méandres de la drogue avec l'Inde pour toile de fond de sa déchéance. Mais au fond d'elle-même, elle a toujours su qu'elle referait de la musique. Après quinze années de silence et d'abstinence, elle revient donc aujourd'hui avec "Fleuve Congo", un titre qui évoque encore une fois son goût immodéré pour les voyages. Cet opus très réussi arrive cinq ans après la parution d'une intégrale qui relatait près de trente cinq ans d'une carrière entamée aux côtés de Gainsbourg.

C'est à l'un de ses dignes héritiers, Benjamin Biolay, qu'elle a confié les clés de sa nouvelle vie discographique. Le lyonnais lui a été présenté il y a trois ans et ils se sont très vite trouvé des affinités. Il lui a ainsi fait réenregistrer "La Guérilla" de Maître Serge, "La Prière" de Brassens et lui a concocté un disque sur mesure. Un retour en grâce peut être miraculeux mais sans doute pas dû au hasard. La rebelle, ex jeune première (elle a commencé par le cinéma avec pour compagnons Bourvil ou Belmondo) a connu son plus gros succès en 1980 avec "Faut Plus M'la Faire". Pourtant aujourd'hui, elle nous fait un bien joli tour...

 

Tracklist
1 Fleuve Congo
2 Julien
3 Bateau Ivre
4 La Guérilla
5 Mon Amour Pour Toi
6 La Chanson De Tessa
7 La Maison Sous Les Glycines
8 Idées Reçues
9 La Prière
10 Sensations
11 Kerouac


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Biographie Janis Joplin

Janis Joplin

Veritable hippie,Janis Joplin naît le 19 janvier 1943 à Port Arthur au Texas. Confrontée au conservatisme ambiant du Sud, elle ne renonce pourtant pas à son attirance pour le blues et le folk. En 1966, elle déménage en Californie et rejoint le groupe psychédélique Big Brother & The Holding Company. Après avoir enregistré le 2ème album Cheap Thrills (1968), Janis Joplin quitte le groupe pour se consacrer à une carrière solo. Elle enregistre alors I Got Dem Ol' Kozmic Blues Again M

ama! avec le Kozmic Blues Band. Accroc à la drogue, à la bouteille et aux hommes, elle signe juste avant sa mort l'album Cheap Thrills qui balaie plusieurs styles du blues à la soul en passant par le folk rock. Mais, elle meurt d'une overdose le 4 octobre 1970 à Hollywood avant même que cet album ne sorte. Le single Me And Bobby McGee se placera numéro 1 des charts l'année suivante.

 

Christiania

Copenhague -- La «ville libre» de Christiania, repaire de marginaux à Copenhague, perdra le 1er janvier 2006 son statut spécial de communauté alternative depuis sa création en 1971, a décidé hier le gouvernement libéral-conservateur danois.

Ancienne caserne abandonnée en 1971 par l'armée et aussitôt envahie par des hippies, Christiania, toujours propriété du ministère de la Défense, vit depuis 33 ans en autogestion, au grand dam de la droite danoise qui critique notamment son marché au haschich estimé, par la police, à 200 millions de couronnes (43,4 millions $CAN) par année. La «ville libre» redeviendra «un quartier comme les autres, ouvert à tous, débarrassé de la drogue et respectant les lois du royaume», ont déclaré hier les ministres des Finances, Thor Pedersen, et de l'Économie, Bendt Bendtsen.

«Nous n'allons pas tuer le milieu créatif de Christiania et nous voulons tenir compte des existences précaires, a souligné M. Bendtsen, lors de la présentation à la presse d'un plan d'action pour la réhabilitation du quartier. Cependant, le népotisme doit disparaître. Il faut que Christiania ne soit pas seulement le lieu de hippies à la retraite, mais qu'il y ait place aussi pour les familles avec enfants et pour les plus défavorisés.»

«Mais ce plan ne signifie pas que Christiania doive absolument ressembler aux autres quartiers de Copenhague. Il doit toujours y avoir place pour ceux qui veulent vivre autrement», a souligné M. Pedersen.

Situé près du centre dans l'un des endroits les plus idylliques de la capitale, ce quartier sera entièrement rénové et les bâtiments de l'ancienne caserne mis en vente pour une somme globale qui pourrait atteindre 200 millions de couronnes. Une quarantaine de maisons, construites dans les fossés des anciens remparts de Copenhague, seront en outre démolies.

Ce projet de réhabilitation du quartier n'a pas manqué de produire une onde de choc parmi les «Christianites» puisque ceux-ci devront, dans moins de deux ans, payer des loyers comparables à ceux en vigueur dans la capitale danoise alors qu'ils n'en payaient pas. Les 1000 habitants de l'ancienne caserne ne déboursent en effet aujourd'hui qu'entre 210 $ et 355 $ par mois, pour l'électricité, l'eau, le ramassage des ordures, la poste privée et d'autres frais collectifs.

«Ce plan, qui fera l'objet de dures négociations avec le collectif de "la ville libre", signifierait, s'il était adopté, la mort de Christiania, qui perdrait son âme et sa raison d'être comme collectif où toutes les décisions sont prises par consensus», a déclaré Peter Post, secrétaire du groupe de contact de Christiania avec les autorités.

LARZAC (Montana)
(Traduction-adaptation : WOLL)
Version frenchie, années 70

Ouais, faut que j' fasse mon sac pour le Larzac
Pour faire la culture vraiment super 
du Fil dentaire

J' le f'rai pousser
J' le récolt'rai
Et j'en tir'ai plein d'fric
Dans les quartiers chics

A moi la liberté
C'est super 
Car j' vais m' tirer pour cultiver - mon
Fil dentaire

    Pour cultiver - mon
    Fil dentaire

Ouai j'aurais qu'à élever aussi des abeilles
Mais pas pour l' truc sucré
Juste pour la cire...  avec la cire, j'ai une idée

J'la fait chauffer                        
Couler par terre
Pour épiler                
Mes fils dentaires

Une géniale façon
De faire ma moisson
(voilà pourquoi faut qu' j' fasse mon sac)

    J' fais mon sac pour le Larzac
    Je deviend'rai roi du fil dentaire
    (Ouais j' suis l' roi)
    J' fais mon sac pour le Larzac
    Je vais m’ faire un fric d’enfer

J'épil'rai aussi les
Fils de fer
Autour du camp militaire
Plus d' barrière!
Les barbelés, tous épilés
Un super job de libertaire...

J'irai sur un p'tit canasson 
(qui s'appell'ra MINI PINÇON)
Pour épiler
Y' m' faut un poney
Même trop minus pour y sangler une selle ou mon poncho
C'est ça qui m' faut                                                             
Ouais même trop minus pour une selle ou mon poncho
C'est ça qui m' faut
Ça qui m' faut

J'épil'rai aussi les
Fils de fer
Et même si vous trouvez ça un peu dingue, les mecs
J' m'en fous si vous trouvez ça dingue, les mecs
J' m'en fous si vous trouvez ça dingue, les mecs

Ouai j' vais m' trouver un poney
Pas plus grand qu' ça
Et chevauchant j'épil'rai les barbelés

Me voyant faire
Ce devoir sacré
Avec mes pinces à épiler plaquées or                
Tous les ploucs du coin diront médusés
Que j'suis super fort                                          

A moi la liberté
C'est super
Car j' vais m' tirer pour cultiver - mon
Fil dentaire

    Pour cultiver - mon
    Fil dentaire
    Pour cultiver - mon
    Fil dentaire

Libre j'irai
La nuit chevauchant 
Avec mes pinces brillant
Sous la lune argentée

Puis, j' m' roul'rai
Un bon petit pétard
Vraiment cool, c'est super...
Avec mon  poney pygmée, peinards 
Sous des buissons de kif cent'naires

Puis mon canasson
J'enfour'chrai
Et galop'rai
Vers mon hamac
Dans l'aube pure du Larzac

J' fais mon sac pour le Larzac            
(Hippie - Taille - Haut - Taille - Haie)
J' fais mon sac pour le Larzac            
(Hippie - Taille - Haut - Taille - Haie)

 

 
   


 

 
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Découvrez Tim Buckley réédité en cd !


Tim Buckley et Goddbye and Hello, les deux premiers albums de Tim Buckley (père du défunt Jeff) ont été récemment réédités en double cd chez Warner. A ecouter absolument, un des artistes incontournables des 60-70's d'Elektra Records. Une vois hors du commun de "crooner irlandais" et des rythmes psychédéliques à souhait, une musique qui oscille entre le jazz, la funk, le blues et le bon vieux rock'n roll... ca sent bon Woodstock, New York et les champignons hallucinogènes... ;-)

 

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L'épouse de George Harrison.

Pour la première fois Olivia Harrison a exprimé son désarroi et la peine profonde qu'elle ressent depuis le jour du décès de son mari en Novembre 2001.

Nous savons que George rendit l'âme dans ses bras à la demeure de Paul McCartney à Los Angeles.

"George offrit sa vie à Dieu il y a longtemps de cela. Rien ne le retenait plus vraiment en ce monde. Il s'était parfaitement reconcilié avec l'idée de son départ imminent" nous confia Olivia.

"Il me disait "Tu sais, on ne peut pas commencer à s'absorber en Dieu à la fin de la vie. Ce n'est pas un état d'esprit qui se manifeste automatiquement. Il faut constamment travailler sur sa conscience afin d'atteindre la réalisation du soi."

"George a dedié beaucoup de sa vie à atteindre cette conclusion idéale et je n'ai pas le moindre doute qu'il y a réussi."

Olivia, originaire de Californie, révele que ce qui lui manque le plus en George est sa chaleur humaine et son sens de l'humour.

"Il me manque terriblement. Notre relation était tres intime et profonde.

"Lors de ses sejours dans les hôpitaux pour les traitements qui le rendaient très malade, il plaisantait constamment pour que nous ne nous alarmions pas de sa condition.

"George trouvait toujours du temps pour tous ceux qu'il croisait et il n'a jamais vraiment pris au sérieux le fait qu'il était un Beatle.

"Parfois s'il se faisait demander "Etes-vous un musicien?" il répondait tout simplement: "Oui, à un moment donné j'étais dans un groupe!"

"Tout ceux qui le connaissaient étaient bien familiers avec son humour et sa joie de vivre. Ce monde est désormais un lieu infiniment plus triste en son absence."

George Harisson a laissé des légions de "fans" inconsolables. Son décès, des suites d'un cancer du poumon représente la perte irréparable d'un être exceptionnel.

Mais son esprit survit, comme John l'exprimerait sans doute, "dans le soleil et la lune et les étoiles". Il se perpétue, avant tout, dans sa musique et dans tous ceux qui furent à son écoute.

 


 

 

MINI MESSAGE msg online

Ce service est inédit et exceptionnel !! Il vous permet de communiquez entre hippies connectés sur le site en direct ! Un peu à l'image d'une personne qui rentre dans un café et y rencontre des amis ou inconnus, vous rentrez ici dans le site et y rencontrez également des amis ou inconnus.

 

POINT DE VUE
La "religion" hippie 



La célèbre expression "Peace and Love", c'est à dire "Paix et Amour", signifie en d'autres termes: "Faites l'amour, pas la guerre!". Elle devint l’emblème des hippies américains afin de choquer les puritains. Finie la pudeur, bonjour le plaisir 
Un autre signe de paix et de reconnaissance entre hippies est le V formé avec les doigts, repris par les partisans de McCarthy, candidat démocrate aux élections présidentielles dans les années soixante.
Ce pacifisme se retrouve également dans l'autre expression "Flower Power", c'est à dire "le Pouvoir de la Fleur". Effectivement, lorsqu'un hippie offrait une fleur à quelqu'un, cela symbolisait l'amour de son prochain, de la nature et de la paix. C'était en fait une sorte d'idéologie qui prônait l'utilisation des drogues douces permettant de "planer" (= atteindre un état de douce euphorie), l'enseignement de la philosophie orientale et une remise en question des valeurs matérialistes de la société occidentale.
la Convention de Chicago en 1967, lorsqu’une hippie offrit une fleur aux policiers de la Garde Nationale, devint très célèbre. Ce geste narguait un peu les gardes ; il signifiait qu’avec l’amour de son prochain, on pouvait parvenir à tout sans arme ni violence :
Pour mieux comprendre tout cela, voici un extrait de l'interview d'un jeune hippie français, M.C. Jalard, faite par Bernard Plossu2 : 
" B.P. : - Bonté, tolérance, amour du prochain... La pensée hippie me paraît très proche du christianisme évangélique.
M.C. J. : - Moi, j'ai vraiment l'impression, quand on entend ce que prêchent les hippies, que c'est exactement le catéchisme. Le pardon qui est le cœur même de notre idéal, n'est-ce pas sur quoi la religion prétend se fonder? Mais il n'y a pas de pratique religieuse chez nous, et ce pour une bonne raison: l'endroit où un hippie est le plus critiqué, et le plus sévèrement car cette critique prend le masque de la pitié, c'est dans une église. Si je rentre dans une église, les gens voyant ma tête se retournent et prient pour mon salut car ils sont persuadés que je suis mauvais. Alors que je suis devant eux, en statue, puisque devant eux, il y a le Christ avec la même longueur de cheveux, la même barbe! Mais ils ne voient pas la ressemblance... 
B.P. : - Certes, mais enfin les hippies se réfèrent aussi à d'autres pensées. Ils semblent même se plaire à mêler les religions.
M.C. J. : - Là, il faut faire la part du snobisme. Beaucoup ont recours au Zen, à Bouddha, etc., parce que c'est plus exotique de se référer à quelque chose d'étranger à sa culture. Il n'y a aucun doute que le Livre des Morts tibétain, que le Zen, ça a beaucoup plus de charme. Personnellement, je serais plus sceptique. Je connais quelqu'un qui vit maintenant en Inde, eh bien, je me rends compte qu'il en arrive à une certaine sagesse; mais son point de départ, ses buts ne sont pas tellement différents de la sagesse dont a parlé Jésus. " 
On voit bien dans cette interview que, pour la plupart des hippies, Jésus n'était pas ringard. Au contraire, ils le considéraient comme le premier hippie! Même s'il n'existe pas vraiment de religion attitrée des hippies, ceux-ci prenaient apparemment tout ce qu'ils trouvaient de bien dans chaque religion, avec une nette préférence pour le bouddhisme et le christianisme. On pourrait également les comparer à la secte des Hare Krishna, car eux aussi ont pour but d’aider leur prochain et de " se trouver ". Ils voulaient parvenir à un monde meilleur, où régneraient la tolérance, le bonheur, l'amour et la paix. Il s'agit plutôt d'une sorte de philosophie ou d’un syncrétisme (= fusion de plusieurs doctrines) que d'une religion. 

Un nouveau site web fait par joel sur sylvain,une belle surprise: clic ici


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Vive L'AmourJean-François Coen
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Always Outnumbered, Never OutgunnedThe Prodigy
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A Collection of Little SecretsDonna Regina
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17 avril 2003: A Season Drive (Summer of '73)

 

Après un premier album prometteur, A Season Drive revient avec Summer of '73, un titre qui est non sans rappeler l'ami Bryan Adams. Mais l'analogie s'arrête là. Projet solo à sa genèse, A Season Drive s'est transformé en groupe avec des musiciens bien connus de la scène lausannoise. Autour de Frank (ex-Shovel, actuel Kiki de Montparnasse dans les Houston Swing Engines), on retrouve Fabrice (actuel maître des tambours des Favez), et Fig (ex-bassiste des Favez). Point de rivalité donc au sein de cette scène soudée, où les membres voyagent d'un groupe à l'autre à la recherche de nouveaux horizons. Au fait, lequel est-il l'horizon de ce Summer of '73? Comme le dévoile la pochette, il est ensoleillé, mais d'un soleil teinté de fin de journée. On sent la nostalgie, le poids des souvenirs joyeux ("Fourteen again", "Summer of '73"). Frank chante vraiment comme Greg Dulli des feus Afghan Whigs, mais avec plus d'intensité et de sentiments, particulièrement sur "Perfect Boy". A la fois frénétique et posé, le tempo donne le relief qui manquait sur Falling, le premier essai. L'équilibre est bien dosé entre les morceaux instrumentaux (à signaler l'excellente introduction offerte par "My Farewell"), les compositions à la mélodie reposante ("Pale Sister") et les rythmes de roadster ("Falling"). Telle est l'équation d'un rock qu'on apprécie, sans fioritures, mais vigoureux et intense. A Season Drive signe ainsi son premier effort abouti, lequel promet de belles perspectives.


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PHOTOS DU CONCERT TIBET LIBRE
en ouverture du FESTIVAL L'EURO DE NOSAUTS (pyrénées)
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DOCUMENT
PARIS PETARD


À Paris, si beaucoup tirent aujourd’hui sur leur joint avec une facilité déconcertante, l'aventure du cannabis n’a pas fait dans la simplicité. Un périple long et tarabiscoté que trop peu de documents relatent en France (les documents officiels ne datent que de l'explosion psychédélique). Et pourtant... 
La voie impériale 
Grand seigneur, le haschisch a choisi une voie impériale pour arriver dans vos pipes. C’est grâce à Napoléon que le produit est parvenu jusqu’en France au milieu du XIXème. Pendant la conquête de l'Égypte, il embarque avec lui des botanistes qui butinent quelques échantillons de haschisch. Conséquence directe: la naissance du très sélect “Club des Haschichins” (1845/1849), un rdv de vip curieux qui se réunit 17 quai d'Anjou. Là, entre amis, Baudelaire, Gérard de Nerval, Eugène Delacroix consomment les fameuses "perles noires orientales". Le haschich se voit ainsi doté d'une caution intellectuelle de taille, qui, sans doute, fait oublier sa nocivité; une drogue d'artiste en somme, créative et sans danger... Car au début du XXème, ce qui fait peur à la France, c'est la Coco (la “C” comme on l’appelle déjà), une drogue que les riches s'enfilent dans les bastringues à dandies de Montparnasse. Des journaux satiriques comme “La Charrette Charrie” conseillent aux amateurs d'avoir un pharmacien dans sa famille (ce qui facilite l'approvisionnement) et tirent à boulet rouge sur les amateurs bourgeois du "Five O'Clock Coco". Fréhel la chante mais pas le canna ou la marijane... Mais où est passé le haschisch ? 
Haschisch ou Opium ? 
Il faut se déplacer pour en retrouver la trace. Le haschisch se consomme avec les appelés du contingent au Maroc, un joint de kif en guise de bizutage pour le bidasse prêt à se morfondre... Sur le retour, les Pépés l’Moko en goguette ne souffrent pas du manque, à contrario des gus ayant trop tâtés à l'opium en Indochine. Alors que les fumeries font des petits à Paris et que la mondaine montre les dents, on cause un argot d'intoxiqué: les boys ou Gongai préparent de la confiture (l'opium), les buveurs de laudanum (le toxico) se mettent dans le creux (s’étendent sur la natte) avant de taper le bambou (fumer). Mais ou est passé le haschisch ? Ce n’est qu’après la deuxième guerre mondiale qu’il se consomme de façon communautaire et naturel. Les ouvriers maghrébins venus travailler dans nos usines amènent avec eux leur culture et leur bout de kif, fument sur place comme ils l'auraient fait au bled sans chercher à le vendre.
La consommation des fifties 
En 50, différentes “familles” marginales font du hachisch leur compagnon de route. Ca fume à St Germain chez les existentialistes, chez les jazzmen ricains qui débarquent à Paname, joint au bec, chez les premiers beatniks qui partent pour Casablanca rêver de Kérouac. À Paris, on va chercher son bout de shit du coté de la Contre Escarpe chez "Pov Pov" ou rue de la Huchette, du côté de la Bastille ou de Barbès... Non stop, des passeurs font la navette entre les bidonvilles de Nanterre et ces quartiers de Paris encore populaires dans les fifties. Pour deux francs de l'époque, on repart avec son bout de marron d’un centimètre carré. Là, on le grille entre amis sûrs ou de passage, le principal étant de rester dans une idée de partage. Mais à cause d'une demande toujours exponentielle, la consommation perd en discrétion et entame un cycle charnière.
De la marge à l'étalage
En 67, alors que les premiers freaks commencent à faire la route, le trafic s'intensifie et les consommateurs se “spécialisent”. Pas de chiens anti-drogue aux frontières, le matos passe souvent tranquillement sans passeport. Les premiers planteurs français essayent leurs boutures. Un an avant, Allen Ginsberg a réclamé la légalisation du cannabis, une idée qui fleurit aussi chez nous. Le joint se démocratise mais l'héroïne envahit Marseille et la répression s’organise. En 1970, un douanier bilingue fait saisir les exemplaires du "Manuel du cultivateur de Marijuana", ouvrage signé Bill Drake. La France fume par tous ses pores et le consommateur commence à mal supporter le fait d'être pris pour un délinquant. 1976, Jean Paul Généraux et le quotidien Libération lance l'appel du 18 joint, demande la dépénalisation du cannabis et l'ouverture d’une structure d'information interdite de fait par la loi du 31 décembre 1970. Vingt six ans après, le dossier est loin d'être bouclé ! 
Anne & Julien du journal nova 


 


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Paroles du Bouddha Soutra aux Kalamas Paroles de Sagesse 

Paroles du Bouddha Soutra aux Kalamas Paroles de Sagesse 
Un jour le bouddha traversait le royaume de Kosala et s'arrêta dans une petite ville appelée Kesaputta. Ses habitants étaient plus connus sous le nom de Kâlâma. Quand ils apprirent que le bouddha était chez eux, ils lui rendirent visite et lui dirent : "Tathagata, des solitaires et des brahmana qui passent par Kesaputta, exposent et exaltent leurs propres doctrines et ils condamnent et méprisent les doctrines des autres. Puis viennent d'autres solitaires et brahmana qui eux aussi à leur tour, exposent et exaltent leurs propres doctrines et condamnent et méprisent les doctrines des autres. Mais pour nous, Tathagata, nous restons toujours dans le doute et la perplexité quant à celui de ces vénérables solitaires et brahamana qui a exprimé la vérité et quant à celui qui a menti." 
Le bouddha répondit : "Oui, Kâlâma, il est juste que vous soyez dans le doute et dans la perplexité, car le doute s'est élevé en une matière qui est douteuse. Maintenant, écoutez, Kâlâma, ne vous laissez pas guider par l'autorité de textes religieux, ni par la simple logique ou l'inférence, ni par les apparences, ni par le plaisir de spéculer sur des opinions, ni par des vraisemblances possibles, ni par la pensée "il est notre maître". Mais, Kâlâma, lorsque vous savez par vous-mêmes que certaines choses sont défavorables, alors, renoncez-y ... Et lorsque par vous-mêmes vous savez que certaines choses sont favorables et bonnes, alors acceptez-les et suivez les."